Sunday, March 21, 2010

LES CODES DES PLANS DE MAISON

Cette semaine le défi était sur des plan de maison. . . et c'est un défi à faire à deux donc, regardez sur le blog d'Emilie pour la suite.

Je vais vous raconter les code des plans de maison.

wc=
lavabo=
fenêtre=
mur=
porte =
évier =
cuisinière=
baignoire=

Voilà vous savez tous les signes de plan maintenant.

Ensuite, je vais vous expliquer comment on a fait.
Premièrement, nous avons commencé à faire un petit plan de la maison au brouillon.
Ensuite, nous avons mesuré chaque mur de l'appartement, en faisant pièce par pièce. Cela nous a pris tout de même 2 jours ! Nous avons aussi mesuré les fenêtres et les portes.

Voici une petite vidéo rigolote de notre action.

Maintenant que vous savez tout, ou presque, sur chez nous, nous vous attendons !
Au prochain blog.

Sunday, March 14, 2010

LE SAINT HONORE

Cette semaine, j'ai relevé le défi de faire un Saint Honoré : le meilleur gâteau du monde... enfin un des meilleurs !

C'est un gâteau avec une base de pâte feuilletée, des petits choux, de la crème patissière, de la Chantilly et du caramel : le tout maison, c'est à dire tout un programme !

J'ai commencé vendredi par fabriquer de la pâte feuilletée avec Emilie et samedi, j'en ai faite une moi-même pour vraiment relever le défi. C'est assez simple mais long, j'ai promené le minuteur carotte partout avec moi !


J'ai étendu la pâte feuilletée et l'ai découpée en cercle. Ensuite je l'ai laissée reposer au frigo.




Dimanche, les choses sérieuses ont commencé. La pâte à choux rate ! (la recette était mauvaise, heureusement on a utilisé un autre livre de recette) La crème patissière rate ! Pfff ... Elle était pleine de grumeaux, j'ai dû jeter dans les toilettes 2h00 de travail ...
Pas de souci, on avait un stock d'oeufs et de farine, donc on s'y est remis. Pour la pâte à choux, il faut ajouter la farine et les oeufs hors du feu et pour la crème patissière il faut mélanger vraiment bien les jaunes d'oeufs avec la fécule !



Mais ce n'était pas fini. J'ai appris à faire une poche à douille : c'était cool. On a fait un rond de pâte à choux sur la pâte feuilletée et des petits choux avec le reste.



Finalement les choux étaient superbes et la crème patissière délicieuse. OUF !

Pour la crème Chantilly, on a mis des glaçons dans une bassine et de la crème liquide dans un plus petit récipient. J'ai ajouté du sucre et ensuite patience. J'ai pris le batteur et mis la petite vitesse. Et quand la Chantilly était prête, parfaite et succulente, j'avais augmenté de 2 vitesses ! MIAM !


Pendant ce temps, Maman a fait le caramel : du sucre, un peu d'eau et dans une casserole. En Roumanie, il ne faut surtout pas prendre le sucre en morceaux qui ne caramélise pas, on avait déjà tenté.

On l'a amené à une fête, il était super beau et super bon.



Mais il me faudra bien une semaine, au moins, pour me remettre de ce défi ! Je ne suis pas encore le roi de la patisserie

Au revoir et à la semaine prochaine.

Sunday, March 7, 2010

A PROPOS DE PAUL PATURLE

Bonjour le défi de la semaine était de lire des extraits d'un livre racontant l'histoire vraie de l'arrière-grand-père de Maminette et d'en faire un résumé. Il s'appelait Paul Paturle et il habitait en Chartreuse, à côté de Grenoble.

Voici ce que j'ai appris dans le livre "Paul Paturle, industriel en Chartreuse" de Jean-Marc Paturle.




Au départ, l'entreprise qu'il va reprendre fabriquait des limes. Mais même en triplant les ventes, l'usine était trop petite pour gagner de l'argent. Il va demander aux Chartreux de lui prêter des sommes quand il en aura en besoin en échange de 10% des bénéfices.



Au changement à la tête des Chartreux, ceux-ci lui demandent d'être rentable sous peine de fermeture d'usine.

Paul Paturle pense beaucoup aux conditions de travail de ses employés suite à un accident et une explosion. Il cherchait vraiment des employés étrangers parce qu'il n'y avait pas assez de monde localement.

Il se lance en Corse et Algérie. Pour vendre ses limes, il emploiera quelqu'un là-bas qui sera payé 10% de ce qu'il gagnera. Il prenait souvent le chemin de fer, le VSB et marchait 2km à pied pour aller à Frouvoirie. Il utilise la poste restante (comme nous) mais le téléphone coûtait 3,50 francs par coup de fil soit 20 fois plus qu'aujourd'hui.

Paul Paturle se lance dans le busc. Ce sont des lamelles d'acier que l'on met dans les corsets pour que les dames aient l'air plus minces. Les fabricants de corsets sont surtout à Paris et à Lyon et le marché était juteux.

Ça se passe pourtant très mal pour Paul Paturle, ses 2 fils partent à Londres faire fortune mais cela ne marche pas et ils rentrent à Fourvoirie.

Le temps passe et ça s'améliore enfin à Fourvoirie. Le frère de Paul Paturle sait que l'avenir de l'entreprise dépend de l'amitié de ses 2 neveux.

Paul Paturle prend un risque énorme de se lancer à 40 ans dans un nouveau métier : le laminage et ça fonctionne très bien. Jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite l'entreprise ira ultra bien avec les 3 activités des limes, des buscs et du laminage.

Je trouve que ce qu'il a fait était extraordinaire et que c'était super dur. Je comprends aussi pourquoi on aime tant la chartreuse dans la famille ;-)

A bientôt pour un nouveau blog.